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EPICERIE SOLIDAIRE (Source: Un Jour Une Actu) - 13 décembre 2012| par Pauline Martineau
Une grande conférence de lutte contre la pauvreté s’est ouverte à Paris lundi 10 décembre. Suite à cette conférence, le gouvernement s’est engagé à aider les plus démunis.
La pauvreté s’accroît en France. Selon l’INSEE, un institut de statistique, 8,6 millions de personnes étaient considérées comme pauvres en 2010, soit 14 % de la population. Cela signifie qu’elles vivent avec moins de 964 euros par mois. Pour aider ces personnes, des projets ont vu le jour, comme les épiceries sociales et solidaires. Leur particularité est de vendre des produits beaucoup moins chers que dans un supermarché. 1jour1actu s’est rendu à l’épicerie solidaire Maillol, à Toulouse. Si les produits vendus sont moins chers que dans un supermarché normal, les clients doivent tout de même payer ce qu’ils ont choisi. Ce magasin ressemble à toutes les autres épiceries. Il y a des rayons, des personnes en train de faire leurs courses et une caisse. Pourtant, quand tu lis les étiquettes, tu te rends compte que les produits vendus sont bien moins chers qu’ailleurs, entre 10 et 30 % du prix de base. Par exemple, un paquet de pâtes qui coûte un euro dans un supermarché va être revendu trente centimes dans une épicerie solidaire. Faire payer moins cher est le principe de ces établissements ouverts aux personnes qui n’ont pas les moyens d’acheter leur nourriture dans les autres commerces. Céline Vernhes est animatrice régionale pour l’Association nationale de développement des épiceries solidaires. Elle est venue rendre visite à l’équipe de l’épicerie Maillol. Elle explique à quoi sert une épicerie solidaire. "À l’épicerie Maillol, tu rencontres des personnes âgées, des salariés, des étudiants, des personnes seules, des familles ou des chômeurs. Leur point commun est de manquer d’argent pour vivre correctement. L’épicerie les aide sans qu’ils aient l’impression de perdre leur dignité." « Dans les rayons, tu trouves tout ce dont tu as besoin », explique Patricia Rameau, la présidente de l’épicerie. Il y a les produits de base, comme les pâtes et les boîtes de conserve. Mais tu as aussi des fruits et des légumes, des produits surgelés, des yaourts, du fromage, des produits pour faire le ménage et même des produits de beauté de marque. Bref, il y a tout ce que tu trouves dans un supermarché ordinaire. Pour proposer les produits à petit prix, Patricia et Céline ont leurs astuces et leurs réseaux. Christine est une cliente du magasin, elle le fréquente depuis le mois de juillet. Toutes les semaines, elle vient faire ses courses. C’est une amie qui lui a conseillé de venir dans cette épicerie. |
AQA Paper 2 WRITING - Section A Translation into French
Stimulus Text + 5 sentences to translate, worth 3 marks each
1. Committing to helping poor people is something which has become necessary.
2. After visiting this Solidarity-based Groceries, I realised there were efficient ways to help people who don't have the means to buy basic products.
3. Last week I had the opportunity to meet the leader of an association whose aim is to develop solidarity-based shops.
4. This meeting enabled me to understand that the shop was a place where these people in need did not lose their dignity.
5. It would be a good idea to advise people who wish to give something to the community to visit the solidarity-based shop and do some voluntary work there for a few hours.
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